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"Marie-Anne produit également des gravures, le plus souvent à partir d’un « objet du quotidien ». Des vieux fauteuils, des ustensiles, des robes, etc.

 

Mais aussi des enfants, des communiants, ceux des photos de famille qui se transmettent de génération en génération et dont on oublie l’identité. Ils sont la mémoire perdue, un héritage immatériel au sein duquel éclot l’imaginaire. Par le biais de ses gravures, elle offre au spectateur les sentinelles d’un passé mobile et sans appartenance que chacun aimera à emplir de son propre vécu."

 

-Léa Mazet.

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